"As Pitas" est un film mozambicain de 1998, qui met en scène des "pitas". C'est la pochette de la cassette qui est reproduite ainsi. Au dos, on peut lire en portugais:
Diante
de uma televisão, a assistirem a longas sessões de tele-novelas,
quatro jovens, amigas e colegas de escola, habitantes de uma cidade do interior
de Moçambique, compartilham os seus problemas comuns: a traição
do namorado, a corrupção de um professor, um novo amor que surge…
No seu quotidiano enfrentam, com ternura e humor, situações
críticas características da sua idade. Uma delas, para seduzir
o jovem por quem se apaixona, não hesita em recorrer à magia,
sem dar crédito às avertências das outras. As consequências
serão impresíveis.
Devant une télévision, assistant à de longues sessions de telenovelas [série télévisées dont le modèle le plus apprécié est toujours le brésilien -pour un commentaire sur les telenovelas, voir: http://www.bbc.co.uk/ pour la relation entre telenovelas et politique au Brésil, voir le site suivant http://www.unb.br/ quatre jeunes filles, amies et condisciples d'école, habitant une ville de l'intérieur du Mozambique, partagent leurs problèmes communs: la trahison d'un peit ami, la corruption d'un professeur, la naissance d'un nouvel amour.
Dans leur quotidien, elles font face avec tendresse et humour, à des
situations critiques propres à leur âge. Une d'entre elles, afin
de séduire un jeune homme dont elle est tombée amoureuse, n'hésite
pas à recourir à la magie, sans prendre en considération
les avertissements des autres. Les conséquences seront imprévisibles.
Scénario
et réalisation: Licínio Azevedo
Images: João Costa (Funcho)
Assistant de caméra: Victor Marrão
Son: Gita Cerveira
Production Abdul Manafe
Edition Orlando Mesquita
Une production de Ébano Multimédia - Maputo Mozambique. Tel: ++258 1 493086/82 - courriel: ebano@zebra.uem.mz
"As pitas" verso de la pochette
Verso de la pochette de la cassette du film. Les corps des jeunes filles sont tellement différents entre le milieu urbain et le rural,
qu'en
arrivant de la ville à la campagne, ou mieux du ciment vers le roseau
(caniço), de l'immeuble à la case, de l'alvenaria
à la casa em materiais locais, on a l'impression qu'il n'y a
plus de jeunes filles dans les villages,
elles sont toutes parties à la ville? Non.